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KPop Demon Hunters a débarqué sur Netflix et, autant vous dire, on n’était pas prêts. Avec son cocktail explosif de vibes émotionnelles, de combats surnaturels et de pouvoir musical, la série coréenne impressionne du début à la fin. Et alors, ce final ? Il nous a laissé en PLS (positivement, hein). Allez, on vous raconte.
Un démon, deux groupes, et des tensions à couper au sabre laser
Bienvenue dans un monde secoué par Gwi-Ma, une entité démoniaque déterminée à semer le chaos. Face à lui, un trio qui envoie du lourd : les Huntrix. Leur arme ? La musique. Oui, oui, leurs mélodies ont des pouvoirs magiques, et elles tiennent l’équilibre fragile de la réalité. Mais forcément, ça clashe sévère avec l’arrivée des Saja Boys, un autre crew mystérieux qui bouscule les codes.
Très vite, les tensions montent. Les Saja Boys imposent leurs propres règles, et la suprématie musicale des Huntrix est remise en question. L’enjeu dépasse le simple buzz : c’est l’harmonie du monde qui part en vrille. Un peu comme quand Nicolas et Léa dans Secret Story font une alliance chelou et que tout le jeu bascule.
Rumi en mode révélation choc (et ça pique)
Juste au moment où le groupe commence à montrer des signes d’essoufflement, bam, un secret planqué refait surface. Rumi, l’une des membres les plus admirées, cache une vérité pas très glam. Résultat ? La team Huntrix prend un uppercut émotionnel. La cohésion du groupe s’effondre comme un château de cartes. Mina et Zoey lui tournent le dos, la confiance est explosée en plein vol.
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Mais Rumi ne baisse pas les bras. Elle plonge en elle-même, affronte ses démons intérieurs (et extérieurs), et finit par transformer sa culpabilité en créativité. Comme dans une vraie rupture amoureuse, elle écrit LA chanson qui fait pleurer dans les chaumières (et qui déchire tout). Cette ballade devient le déclic qui reconnecte les Huntrix et balaie l’emprise du démon sur ses potes.
Jinu, le bad boy au grand cœur (oui, on l’adore grave)
Et puis, il y a Jinu. Mysterieux, ténébreux, le gars qui traîne des casseroles mais qu’on ne peut pas s’empêcher d’aimer. Tourmenté, il vacille entre l’envie de rester dans l’ombre et celle de tout plaquer pour retrouver la lumière. Son arc narratif est ultra touchant — un vrai parcours de rédemption qui sent le vécu et la galère.
À force de doutes, Jinu finit par faire LE choix. Vous savez, celui qui change tout. Il se sacrifie pour permettre à Rumi d’aller au bout de sa lumière. C’est beau, c’est déchirant, et ça passe crème niveau émotions. La scène est digne d’un prime final de Koh Lanta : intense, dramatique et impossible à oublier.
Une explosion finale d’amour, de vibes et de pouvoir cosmique
Le démon Gwi-Ma passe en mode boss final, prêt à détruire la ville. Mais c’était sans compter le come-back des Huntrix, enfin réunies, plus puissantes que jamais. Grâce à leur lien retrouvé, et à une bonne dose de self-love (mention spéciale à Zoey qui gère à mort), elles activent le Honmoon, un rituel musical ancestral.
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L’effet est immédiat : une vague de lumière purifie tout. La ville revit, les gens sourient, et même les Saja Boys baissent la garde. Les Huntrix s’élèvent dans le ciel comme des héroïnes célestes. On a presque envie d’applaudir devant notre écran, tel un public en folie au Zénith de Paris.
Et Jinu dans tout ça ? Même s’il n’est plus là physiquement, son esprit reste présent à travers les chansons de Rumi. Elle transforme leur douleur et leur amour impossible en une mélodie puissante, une vraie déclaration d’amour. On a les poils.
KPop Demon Hunters, c’est clairement plus qu’un animé fantasy : c’est un manifeste sur la force du lien, du pardon et de… la musique qui guérit. Gros crush.