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Ayem Nour fait de nouvelles révélations sur sa vie passée avec Vincent Miclet, et notamment sur les pressions qu’elle aurait subies après sa grossesse. L’ancienne animatrice affirme que son ex-mari lui aurait imposé un véritable « planning » de chirurgie esthétique, sous prétexte qu’elle ne correspondait plus à ses standards physiques d’avant leur enfant.
Une pression insoutenable sur son apparence
Selon Ayem Nour, après son accouchement, Vincent Miclet aurait commencé à porter un regard différent sur elle. Il aurait rapidement manifesté une forme de mépris à son égard, jugeant qu’elle n’avait plus la silhouette qu’il appréciait.
Face à cette situation, il lui aurait imposé un véritable « planning » d’opérations de chirurgie esthétique, espérant lui faire retrouver son apparence d’avant grossesse.
Ce comportement aurait entraîné Ayem dans une période particulièrement difficile. Cette exigence de perfection physique l’aurait poussée dans une grande détresse émotionnelle, lui faisant ressentir une immense pression à chaque apparition publique. Malgré son choc, elle a finalement trouvé la force de refuser catégoriquement ces demandes, refusant qu’on lui impose un tel diktat esthétique.
Exclue des soirées et dîners mondains
Dans son témoignage, Ayem Nour révèle que son ex-compagnon ne s’est pas limité à des remarques blessantes ou des propositions insistantes. Il aurait également pris la décision de l’écarter de certains événements, lui interdisant d’assister à ses dîners d’affaires et autres soirées de prestige tant qu’elle n’aurait pas retrouvé son apparence d’antan.
Cette exclusion aurait été un moment particulièrement violent pour la jeune femme, la plongeant dans une solitude pesante. Ne plus être conviée aux événements de son propre compagnon a fini par accentuer son mal-être, la poussant à prendre une décision radicale pour préserver son bien-être et son estime personnelle.
Une révolte face aux diktats de la perfection
Ayem Nour ne cache pas qu’elle a déjà eu recours à la chirurgie esthétique à certains moments de sa vie. Cependant, elle insiste sur un point crucial : ce choix doit rester personnel et ne jamais être imposé par une tierce personne.
Dans son livre Toutes celles que je suis, elle revient sur cette période et exprime son indignation en déclarant : « Ce n’est pas lui qui les porte, ces 30 kilos en plus, qui croise son reflet déformé dans le miroir. »
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Elle poursuit avec une phrase cinglante qui en dit long sur son ressenti : « Est-ce que je lui ordonne, moi, de faire aspirer sa bedaine et de s’injecter du Botox ? ». Une réponse cinglante qui traduit toute l’injustice qu’elle a pu ressentir face aux exigences absurdes de son ex-compagnon.
Une parenthèse sur son salaire chez NRJ12
Outre ces révélations choquantes, Ayem Nour a également profité de son passage dans l’émission de Magali Berdah pour évoquer un sujet plus léger : son salaire lorsqu’elle travaillait en tant que chroniqueuse sur NRJ12. Elle a confié avoir été « excessivement bien payée », une déclaration qui a surpris certains.
D’après elle, ses revenus variaient entre 10 000 et 20 000 euros par mois, une somme confortable qui lui garantissait un train de vie aisé. Si ces montants paraissent impressionnants, ils sont cependant à la hauteur de la notoriété qu’elle avait acquise à cette époque, prouvant que son statut d’animatrice n’était pas anodin.