Vous êtes ici :   Accueil   >   Actualités   >   Rachel Legrain-Trapani sort du silence sur son départ à Ibiza : On n’est pas tous des exilés fiscaux !

Rachel Legrain-Trapani sort du silence sur son départ à Ibiza : On n’est pas tous des exilés fiscaux !

Montrer le sommaire Cacher le sommaire

Rachel Legrain-Trapani et Ariane Brodier s’opposent sur l’exode des influenceurs vers Ibiza, soupçonné d’être motivé par des raisons fiscales. Alors qu’Ariane critique leur départ avec ironie, Rachel réfute ces accusations en défendant son choix de vie. Camille Callen, alias Noholita, s’invite également dans le débat pour répondre aux critiques.

Ariane Brodier pique les influenceurs expatriés

Ariane Brodier a pris la parole sur ses réseaux sociaux pour dénoncer, avec une pointe d’ironie, la tendance des influenceurs à s’installer dans des destinations prisées comme Ibiza ou Bali. Selon elle, ces départs ne relèveraient pas seulement d’une quête de bien-être, mais cacheraient en réalité des motivations fiscales. Elle a souligné que les créateurs de contenu semblent de plus en plus nombreux à tenter leur chance à l’étranger, où le coût de la vie serait plus avantageux et la fiscalité potentiellement plus clémente.

Ariane Brodier

Cette prise de parole a fortement résonné parmi les internautes, certains partageant son scepticisme tandis que d’autres estiment qu’il s’agit d’un procès d’intention.

À voir Ces 2 signes astrologiques vont enfin souffler financièrement dès le 31 mars : une rentrée d’argent inattendue les attend !

Rachel Legrain-Trapani réplique

Face à ces sous-entendus, l’ancienne Miss France Rachel Legrain-Trapani, elle-même installée à Ibiza avec sa famille, n’a pas tardé à réagir. Elle a fermement rejeté les accusations d’exil fiscal, affirmant que partir s’installer ailleurs ne signifie pas forcément fuir ses obligations fiscales. Elle a précisé que ses sociétés continuent de payer leurs impôts en France malgré son changement de résidence.

Rachel a voulu déconstruire certains clichés sur la vie à Ibiza, expliquant que les coûts liés à la vie quotidienne – notamment les services comme les nounous – ne sont pas plus abordables qu’en France. Elle insiste sur le fait que son choix est avant tout motivé par un cadre de vie plus agréable pour elle et sa famille, loin des tensions de la vie française.

Noholita entre dans la discussion

Camille Callen, connue sous le pseudo Noholita, a également tenu à défendre les influenceurs expatriés. D’après elle, l’image d’une fiscalité avantageuse en Espagne serait largement exagérée et ne concernerait pas spécifiquement les créateurs de contenu. Elle souligne que les coûts des écoles et des services à Ibiza sont souvent même plus élevés qu’en France, rendant l’argument économique peu pertinent.

Pour Noholita, cette migration s’explique avant tout par une volonté de changer d’air et d’accéder à une meilleure qualité de vie. Elle insiste sur le fait que ces influenceurs cherchent une certaine liberté et un cadre de vie plus serein, loin des polémiques et des critiques permanentes auxquelles ils font face en France.

Une polémique qui divise

Ce débat met en lumière les tensions récurrentes autour de l’image des influenceurs et de leur train de vie. Certains les accusent d’instrumentaliser leur notoriété pour échapper aux contraintes françaises, tandis que d’autres estiment qu’ils ont simplement le droit de choisir où ils souhaitent vivre.

À voir Arrêts maladie : des millions de Français risquent de ne plus être indemnisés en 2025, la CNAM tranche !

Qu’ils fuient la pression médiatique ou cherchent un environnement plus propice à leur bien-être personnel, les influenceurs qui s’installent à l’étranger devront sans doute composer encore longtemps avec les soupçons de fraude fiscale déguisée.

Vous aimez ? Partagez !

Breakingnews.fr est un média indépendant. Soutenez-nous en nous ajoutant à vos favoris Google Actualités :