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Meghan et Harry, autrefois chouchous des médias après leur départ tonitruant de la famille royale, commencent à voir leur conte de fées californien grincer un peu. Revenus en chute libre, mansion hors de prix, enfance médiatisée… le vent tourne pour les Sussex, et la facture commence à piquer.
Leur empire médiatique patine sérieusement
Souviens-toi, en 2020, tout le monde parlait du “Megxit” comme d’un tremblement de terre chez les Windsor. Meghan Markle et le prince Harry quittaient la monarchie pour écrire leur propre histoire en mode Hollywood. Netflix, Spotify, mémoires de Harry (“Le Suppléant”, pour les vrais fans)… pendant un temps, ça cartonnait sévère.
Mais trois ans plus tard, c’est plus trop la fête. Norman Baker, ancien ministre et spécialiste de la famille royale, prévient que leur business commence à tourner en rond. Tous les projets chocs ont déjà été balancés, il n’y aurait plus rien dans les tiroirs. Traduction : plus de scoops à vendre, juste eux-mêmes. Et visiblement, ils auraient du mal à se réinventer. Un peu comme une candidate de Secret Story reconvertie en influenceuse qui tourne en boucle sur les mêmes collabs.
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Des dépenses XXL à faire grincer n’importe quelle carte bleue
Leur villa de Montecito en Californie, c’est du rêve sur papier glacé. Mais entre l’emprunt à 9,5 millions de dollars et des mensualités estimées de 50 000 à 100 000 dollars, au bout d’un moment, ça devient chaud à assumer. En plus, on parle de frais de sécurité immenses (et on imagine qu’ils ne prennent pas Uber tous les jours non plus).
Ce style de vie très “Côte Ouest bling bling” coûte une fortune à entretenir, surtout si les contrats s’essoufflent à côté. Et là où certaines stars savent rebondir avec des nouveaux projets, les Sussex, eux, semblent un peu bloqués.
Grosse polémique autour de l’utilisation de leurs enfants pour soigner leur image. La récente fête d’anniversaire à Disneyland a fait lever plus d’un sourcil. Trop belle pour être spontanée, trop arrangée pour ne pas sembler calculée… certains y ont vu une opération de com’ déguisée. Et quand on sait que c’est pile le genre de truc qui déchaîne les critiques sur Twitter, on n’est pas étonnés.
Le photographe royal Arthur Edwards enfonce le clou en accusant Meghan d’exploiter ses enfants pour rester dans la lumière. Il évoque leur “isolement” dans leur palace californien et l’absence totale de lien avec la famille de Harry. Ambiance. Même dans les Marseillais, on gère mieux les embrouilles de famille.
Un rêve californien qui sent un peu le “game over”
On les avait présentés comme les rois de la reconversion après le royal drama, mais aujourd’hui, le storytelling commence à s’essouffler. Trop fragilisés sur le plan de l’image, trop dépendants de leurs révélations passées, Meghan et Harry semblent coincés dans un décor de rêve devenu un peu trop cher.
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À moins de trouver une idée pépite ou un nouveau projet génial (genre une télé-réalité royale ? imagine !), les Sussex pourraient bien finir par faire face à une réalité bien moins dorée que prévue.