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Tension maximale dans l’arène : seulement trois survivants, un bébé au milieu et une règle impitoyable qui tombe. Gi-hun est au bord du gouffre, littéralement et émotionnellement. Entre trahisons choc, révélations familiales explosives et dilemmes moraux bien corsés, tout s’emballe à l’approche du dernier round. Et on ne va pas se mentir : c’est sanglant.
Le retour de Gi-hun, plus torturé que jamais
Gi-hun pensait avoir déjà tout vécu, pourtant Squid Game continue de le mettre face à des choix inhumains. Cette fois, c’est le Front Man en personne qui lui balance une épreuve immorale sur un plateau : tuer dans son sommeil pour garantir sa survie.
Un couteau à la main, le joueur 456 hésite, rongé par ses principes. La tentation est forte, surtout avec un nouveau-né dans les bras, mais un souvenir le frappe de plein fouet : Sae-byeok. Celle de la première saison, celle qui n’a jamais renoncé à son humanité.
Cette apparition façon vision d’outre-tombe agit comme un électrochoc. Elle rappelle à Gi-hun qu’il n’est pas là juste pour gagner, mais parce qu’il a une part d’humanité à sauver. Sae-byeok, c’est un peu sa conscience version Squid Game, la lumière dans tout ce rouge sang.
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In-ho, l’autre visage derrière le masque
Pendant que ça cogite dans l’arène, petit flashback du côté obscur. Le Front Man, qu’on connaît maintenant sous son vrai nom In-ho, a lui aussi eu droit à ce fameux dilemme dans le passé. Et devinez quoi ? Il a craqué. Sous l’influence d’Il-nam, un des VIP karmiquement douteux de la saison 1, il a préféré sauver sa peau. Résultat, il a hérité du fameux masque et de toutes les horreurs qui vont avec.
Ce face-à-face indirect entre Gi-hun et son reflet en miroir, In-ho, est loin d’être anodin. C’est comme si toute l’histoire tournait en boucle, mais avec une chance de casser le cycle. Une boucle sanglante qui pourrait bien se briser cette fois-ci. Ou pas.
Un jeu du calmar version vertige et chaos
Pas le temps de réfléchir plus longtemps, les neuf derniers joueurs sont balancés sur une plateforme en hauteur pour un nouveau jeu complètement sadique. Le principe est simple et bien tordu : trois piliers (cercle, triangle, carré) symbolisent la progression. Mais pour avancer, un joueur doit tomber à chaque tour. Littéralement.
Et comme prévu, c’est Min-su qui tombe le premier. Totalement désorienté et isolé, il est vite éliminé par Myung-gi, en pleine maîtrise de ses nerfs. Clairement, ce gars sait manipuler les gens comme des cubes de Tetris.
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Mais attention, Myung-gi ne fait pas que pousser. Il balance aussi LA bombe de l’épisode : il est le père bio du bébé de Jun-hee. Silence total chez les autres participants… et même chez les VIP. Oui oui, ceux qui s’extasient d’habitude devant la cruauté du jeu restent bouche bée. Autant dire que le drama, là, il est cosmique.
Une infiltration bien risquée mais capitale
Pendant que l’arène se transforme en champ de bataille émotionnelle, de l’autre côté de l’île, un autre affrontement se joue : No-eul, la rebelle badass, s’introduit dans les bureaux du Front Man. Son objectif ? Effacer toute trace compromettante de Gyeong-seok, père célibataire dans le viseur.
Elle affronte directement le Masqué, un autre vétéran du malheur qui, comme elle, a perdu quelqu’un faute de greffe. Leur duel est aussi tendu qu’un prime de Koh Lanta avec collier d’immunité en jeu. Mais cette fois, No-eul s’en sort et parvient à détruire quasiment tout. Il ne reste qu’un dossier papier : le détail qui pourrait tout faire péter…
Plan foireux et nouvelles alliances
L’atmosphère devient irrespirable. Dans l’arène ultra réduite, il ne reste que six joueurs. Et c’est là qu’un plan bien shady prend forme : utiliser le bébé comme monnaie d’échange pour forcer Gi-hun à abandonner. Objectif ? Éliminer les faibles et grimper sur la dernière plate-forme. Ambiance Hunger Games, mais en pire.
Myung-gi, qui jusque-là jouait solo, refuse cette idée glauque. Il reste au côté de Gi-hun et se lance avec lui dans un ultime affrontement. Couteau contre barre métallique, les deux gars dessinent littéralement les contours de leur survie.
Dans la bagarre, plusieurs joueurs tombent, dont le célèbre numéro 100. Même “la boîte à lunch” finit par se jeter volontairement dans le vide. C’est dire le niveau de désespoir…
Il n’en reste que trois
Et là, c’est le choc final. Seuls Gi-hun, Myung-gi et l’enfant survivent à cette boucherie. Mais surprise du chef : la règle du jeu change à nouveau. Cette fois, les deux adultes doivent s’affronter dans un duel à mort pour déterminer le seul et unique gagnant.
On arrive à la fin, la tension est irrespirable, le sang a coulé par litres… et pourtant, une question reste : ont-ils encore quelque chose d’humain à défendre ?
Et si, pour une fois, le vrai twist n’était pas la mort, mais un choix ? Genre… ne pas tuer. C’est osé, mais dans Squid Game, tout est possible.