La ministre de la Culture est un peu moins discrète ces dernières semaines puisqu'elle intervient pour sauver le monde du spectacle notamment de la crise sanitaire. Pour rappel, les salles de spectacles, de cinéma et d'autres professionnels dans ce domaine ne peuvent pas vivre de leur passion. Roselyne Bachelot a donc décidé de mener des tests notamment à Paris et à Marseille pour savoir si des concerts debout et assis peuvent être réalisés dans des conditions optimisées grâce à un protocole très précis. Cette fois, elle se confie pour un sujet tout à fait différent.
Une bonne soeur était amoureuse de Roselyne Bachelot
Roselyne Bachelot a eu l'occasion de travailler avec de nombreux gouvernements puisque son poste au ministère de la Culture n'est pas le premier qu'elle a pu obtenir. Dans les colonnes du magazine, elle n'a toutefois pas évoqué que la situation sanitaire dans laquelle nous sommes plongés depuis près d'une année. En effet, elle a évoqué cette bonne soeur qui était tombée amoureuse d'elle il y a de nombreuses années.
🇫🇷 FLASH – "L'hypothèse d'un été sans festivals est exclue (…) mais il y a festival et festival", estime Roselyne #Bachelot, "ce qui pose des difficultés, ce sont les festivals debout". Elle "reste opposée au passeport vaccinal" qui porterait atteinte "à nos libertés". (FrI)
- Il faut savoir que Roselyne Bachelot a été inscrite à l'institution Sainte Agnès d'Angers.
- Elle a donc pu réaliser une scolarité complète de la sixième à la Terminale comme le révèle Madame Figaro.
- Au cours de sa scolarité, elle a toutefois rencontré une femme, cela se passait dans les années 60.
- Une religieuse était donc amoureuse alors que l'actuelle ministre de la Culture était adolescente.
Apparemment, elle lui écrivait de petits mots d'amour, ils étaient déposés délicatement sur son lit avec notamment une fleur. Roselyne Bachelot confie également qu'elle était surnommée par cette bonne soeur : « mon petit masque courageux ». À l'époque, la ministre n'était pas celle qu'elle peut être aujourd'hui, elle avait notamment été exclue pour son comportement.
Roselyne Bachelot affirme qu'elle était une drôle de chef de gang à l'époque, elle avait tendance à douter fortement de tout ce qui pouvait l'entourer notamment les codes hiérarchiques ou encore le dogme. Son passage dans cette institution n'a toutefois pas été à la hauteur de ses espérances puisqu'elle est devenue athée selon ses propos. C'était également cette liberté d'esprit qui avait pu séduire cette bonne soeur dans les années 60.
L'anecdote de Roselyne Bachelot était donc sympathique à découvrir dans les colonnes du magazine puisqu'elle ne se confie pas souvent sur son passé.
Fermetures des cinémas: après Pierre Niney, Jean Dujardin interpelle Roselyne Bachelot https://t.co/E3TKoFYBT3 pic.twitter.com/vbrEiZjoCi
Roselyne Bachelot a parfois été redoutée par ses adversaires
Cette longue interview vous permet d'en apprendre un peu plus sur l'actuelle ministre de la Culture qui doit relever un défi important. En effet, la crise sanitaire frappe de plein fouet ce secteur qui est à l'arrêt depuis de nombreux mois. Elle est souvent interpellée sur les réseaux sociaux puisque les professionnels, les chanteurs, et même les artistes souhaitent avoir des réponses. Il faudra sans doute attendre le mois d'avril pour avoir les résultats des deux tests avec les concerts à Paris et à Marseille.
Dans cette interview, elle révèle que certains de ses ennemis avaient tendance à la traiter « d'emmerdeuse », car Roselyne Bachelot avait pour habitude de ne rien laisser passer. Elle a notamment pu se souvenir des propos d'un député qui avait donc interpellé Ségolène Royal en lui disant « À poil ». La ministre affirme que cette réaction de « ce petit con » a pu l'ulcérer. emmanuel macron a décidé de lui confier le ministère de la Culture lors du remaniement du gouvernement alors que la crise sanitaire est toujours d'actualité.
Il faut donc croiser les doigts pour que le coronavirus disparaisse de nos vies et que nous puissions enfin retrouver un quotidien quelque peu « normal ».